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Evènements et Invitations

 

À Valréas, Andrée Gontier née Bourret, 86 ans ; Joseph Vincent, 80 ans.

À Grillon, Nicolas Forterre 52 ans. Nous les portons dans nos prières avec leurs familles et leurs proches.

 

Cet Octave de prière est célébré chaque année du 18 au 25 janvier, le jour de la conversion de Paul ! Cette année, la soirée de prière et de partage se vivra à Valréas (salle Cardinal Maury) le lundi 20 janvier à 18 h 30. De 18 h 30 à 20 h 30 : louange, partage en groupes, intercession ; à 20 h 30 : repas partagé (pensez à prendre vos couverts). Le thème de la Semaine de prière pour l’unité chrétienne 2014 nous propose la question provocatrice de Paul dans la première lettre aux Corinthiens : « Le Christ est-il divisé ? » Dans la Foi, nous répondons : « non », bien sûr ! Cependant nos communautés ecclésiales continuent de montrer des divisions scandaleuses. C’est dans cet état de fait de la division que Paul nous appelle à être « unis dans un même esprit et une même pensée ».

 

Paul nous désigne un chemin sur lequel nous pouvons reconnaître et recevoir les dons des autres, même au sein de nos divisions. Honorer les dons faits à chacun nous conduit vers l’unité pour laquelle le Christ a prié. Paul met en valeur deux éléments centraux dans lesquels les chrétiens sont liés au Christ : le baptême et la Croix. Notre unité est en Christ et le salut vient de Lui. Si nous portons la division, « nous réduisons à néant la Croix du Christ » ! C’est la croix, croix à la fois fragmentée et incomplète, et pourtant lumineuse, qui a été placée au cœur du visuel élaboré par Unité Chrétienne pour cette Semaine de prière.

 

L’œcuménisme est la recherche de l’unité sur la base de la même Foi en Dieu Père, Fils et Esprit Saint. Nous ne devons pas le confondre avec le dialogue interreligieux qui consiste à chercher à faire progresser la rencontre avec des hommes religieux dont la foi en Dieu est différente de la nôtre. Les confondre, c’est mettre nos frères chrétiens parmi les membres des religions non chrétiennes. Ou c’est considérer les non chrétiens comme des chrétiens, ce qui n’est pas respecter leur identité.

 

Le corps des sapeurs pompiers de Valréas célèbrera leur sainte patronne le samedi 25 janvier. Plus de 80 pompiers (professionnels et volontaires) participeront à la messe de 19 h 00 à l’église Notre-Dame de Nazareth. Au cours de la messe, M. le Curé bénira la statue de sainte Barbe portée en procession et les casques des pompiers.

 

Le mardi 21 janvier à la chapelle de l’hôpital de 20 h 30 à 21 h 30 : chants, Parole de Dieu, intercessions et actions de grâces ponctueront notre rencontre. Vous êtes tous invités, parents, enfants ou grands-parents ! Le pape François a invité tous les catholiques à s’unir à lui dans la prière pour le synode d’octobre prochain, qui aura pour thème la famille, et pour la guérison des familles. Le pape souhaite que « le prochain Synode des Évêques puisse réveiller en tous la conscience du caractère sacré et inviolable de la famille, de sa beauté dans le projet de Dieu ».

 

Il a prié pour la guérison des familles  : « que jamais plus dans les familles on ne fasse l’expérience de la violence, de la fermeture et de la division ; que quiconque a été blessé ou scandalisé connaisse rapidement consolation et guérison ».

« Le prochain consistoire et le prochain synode des évêques aborderont le thème de la famille, et la phase de préparation a déjà commencé il y a un moment. C’est pourquoi aujourd’hui, en la fête de la Sainte Famille, je désire confier à Jésus, Marie et Joseph ce travail synodal en priant pour les familles du monde entier. Je vous invite à vous unir à moi spirituellement dans cette prière que je fais maintenant :

Sainte Famille de Nazareth, que le prochain Synode des Évêques puisse réveiller en tous la conscience du caractère sacré et inviolable de la famille, de sa beauté dans le projet de Dieu. Jésus, Marie et Joseph écoutez-nous, exaucez notre prière. Amen. »

 

Elle se fera pour la 61^ème journée mondiale, les 25 & 26 janvier à la sortie des messes.

 

Leur loto sera joué le vendredi 24 janvier à 20 h à la salle du Vignarès à Valréas. De nombreux lots sont à gagner : écran plat (1 grand et un petit), bon d’achat de 250 euros pour un voyage, liseuse électronique …

Une restauration sur place est prévue. Les bénéfices permettront de financer des activités, des voyages pour nos élèves.

 

« Jean baptisait dans l’eau pour que celui qui est venu « enlever le péché du monde » soit « manifesté au peuple d’Israël ». Ce peuple, élu de Dieu, avait reçu de Lui sa Loi par Moïse et il se l’était entendu maintes fois rappeler par les prophètes. C’est grâce à cette Loi qu’il avait pu réaliser ce qu’il en était du péché : une infidélité à l’Alliance et l’état d’éloignement qui en résulte. Les multiples interdits et prescriptions de cette Loi avaient pour unique fonction d’aider le peuple à rester fidèle à cette Alliance.

 

Cette Loi s’adressait au cœur, comme le chantent, inlassablement, les 176 versets du Psaume 119 (118). Elle disait l’élection d’Israël : non pas sa supériorité, mais sa vocation à être la lumière des nations. Cette Loi donnée par Dieu à ce peuple particulier, dans l’état où Il l’avait trouvé, ne se réduisait donc pas à la morale, telle que peut la définir la simple raison - ne pas faire à autrui ce qu’il ne doit pas me faire – ni ne se confondait avec les prescriptions d’un législateur humain tout à fait capable de définir le juste et l’injuste en dehors de ce que nous considérons comme la loi naturelle. La Loi qui vient de Dieu est une Loi d’amour, que Jésus résumera en deux commandements - aimer Dieu et son prochain - mais de l’amour qui vient de Dieu, ce qui suppose qu’on ne cesse jamais d’être avec lui, de lui rester lié par la prière du cœur, afin de pouvoir aimer comme lui. Et les Juifs qui descendaient dans le Jourdain auprès de Jean, venaient se convertir à cet amour, se remettre dans le fil de l’Alliance, s’ajuster à Dieu. Jésus, lui, est présenté par Jean comme « celui qui baptise dans l’Esprit Saint ».

 

Quand il s’entretiendra avec le vieux Nicodème, il lui parlera de nouvelle naissance, de régénération.

Son baptême ne sera pas un rite extérieur, bien que signifié par un tel rite. Il consistera dans sa propre mort, seul moyen pour lui d’ouvrir l’horizon de notre mort humaine à la vie de Dieu et de lui amener, avec lui, tous les hommes. Recevoir son baptême c’est donc le suivre dans sa Pâque. C’est se laisser prendre tout entier par lui, et pour cela, il n’est pas trop de toute une vie. » Jean Mallein

 

 

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