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Evènements et Invitations

 

 

À Valréas, Jeanine Lamy, 79 ans. Nous la portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

Le rassemblement annuel des Pénitents du midi de la France, de la Catalogne, de l’Italie du Nord aura lieu à Valréas les 17 & 18 mai. En 2013, il avait eu lieu à Monaco, en 2012 à Saint Etienne De Tinée dans les Alpes Maritimes, en 2011 à Carpentras. La dernière maintenance à Valréas remonte en 2006. Elle commémorait le 80^ème anniversaire de sa fondation. Depuis l’existence de ces rassemblements, Valréas les a accueillis sept fois : 1929, 1964, 1981, 1989, 1998, 2006 et 2014. Une maintenance est une démonstration publique d’un acte de foi.

Entre 200 et 300 pénitents et accompagnants sont attendus ! Cela représente une organisation très lourde. D’où un appel aux paroissiens pour aider aux différentes tâches des deux journées : accueil, service d’ordre, encadrement… Pour contribuer à la pleine réussite de ces journées de ferveur, vous êtes tous conviés à la réunion de préparation qui se tiendra le mercredi 30 avril à 18 heures à la salle Cardinal Maury. Par avance un fraternel merci !

De plus, vous êtes largement conviés à participer au repas convivial qui suivra la messe du dimanche 18 mai, servi à la salle du Vignarès. Le prix du repas est de 31 € tout compris. Soyons très nombreux à cette grande fête ! Il ne faut pas espérer la prochaine maintenance chez nous avant au moins 15 ans !!! N’hésitez donc pas à vous inscrire au plus vite auprès de : ( Presbytère de Valréas : 04.90.35.02.59.

 

Le Denier de l’Eglise est la participation de base des catholiques à la vie matérielle de l’Eglise. Certes, il y a d’autres moyens, les dons et les legs en particulier. Mais le Denier demeure essentiel. Et il faut le répéter sans fioriture : il n’est pas normal qu’un catholique ne participe pas au Denier de l’Eglise !!! C’est la première des solidarités à vivre !

Un don au Denier de l’Eglise Catholique ouvre droit à déduction d’impôt. Quel que soit le montant de votre don, il vous permettra la déduction de 66 % de sa valeur. Des enveloppes sont à votre disposition au fond des églises. Merci aux nombreux donateurs qui malgré de faibles ressources participent généreusement au Denier ! Etant parfois non imposables, ils ne bénéficient pas de la déduction fiscale. En ces temps difficiles, merci beaucoup pour votre générosité !

 

Les amis de l’Opération Orange de l’Enclave organisent leur loto annuel au profit des chiffonniers du Caire le dimanche 27 avril à 14 h 30 à la salle du Vignarès à Valréas. Une restauration vous sera proposée au cours de l’après-midi. À l’issue du loto, à 18 h 30, une conférence sur « L’actualité en Égypte » sera donnée par Jean Sage, ami de la première heure de sœur Emmanuelle et de sœur Sara.

 

Pour le numéro de cet été, pensez à rendre vos articles pour le 5 mai au plus tard !

 

Célébrer Pâques, c’est renouveler notre foi à l’événement sans lequel nous ne serions pas chrétiens. C’est accueillir en nous dès maintenant la Vie que le Christ ressuscité nous offre par son Eglise. Célébrer Pâques, c’est témoigner envers et contre tout que notre vie a un sens. C’est annoncer que chaque personne humaine et l’humanité sont faites, non pour tourner en rond dans la nuit, mais pour avancer à la lumière du Christ ressuscité. Proclamer « Christ est ressuscité », ce n’est pas faire un constat sur le passé, c’est prendre un engagement dans le présent. Croire en la Résurrection, c’est accepter de toujours recommencer, et de façon toujours nouvelle, sans céder à la tentation du découragement. C’est croire que l’avenir est ouvert, en refusant, surtout lorsque les temps sont difficiles, de devenir nostalgiques du passé. C’est s’engager sur des chemins nouveaux, en devenant créateurs de relations nouvelles.

II ne s’agit pas de disserter sur la résurrection, mais d’en vivre ! Car on ne prouve pas la Résurrection, on ne peut qu’en témoigner.

 

Liturgie 

Le missel romain prévoit quatre formules pour la préparation pénitentielle : le « Je confesse à Dieu » ; « Seigneur, accorde-nous ton pardon » ; la triple invocation et l’aspersion. Il est bon d’alterner les possibilités selon les périodes liturgiques ou les occasions. L’aspersion au temps pascal, par exemple, a un sens pénitentiel lié au baptême, de la plus forte expression. Nous avons part à la résurrection du Seigneur Jésus. Nous sommes les enfants de Pâques par le baptême qui nous a fait renaître à la vie nouvelle, à la vie qui jaillit du Christ ressuscité.

 

« Beaucoup d’entre nous n’ont pas le moindre souvenir de la célébration de ce sacrement, et c’est normal, si nous avons été baptisés peu après notre naissance. J’ai déjà posé cette question deux ou trois fois, ici, sur la place : que ceux d’entre vous qui savent la date de leur baptême lèvent la main. C’est important de connaître le jour où j’ai été immergé dans ce courant de salut de Jésus. Connaître la date de notre baptême, c’est connaître une date heureuse. Si on ne le sait pas, on risque de perdre la conscience de ce que le Seigneur a fait en nous, du don que nous avons reçu. Nous finissons alors par le considérer seulement comme un événement du passé - et même pas par notre volonté mais par celle de nos parents - et qui n’a donc plus aucune incidence sur le présent. Nous devons réveiller la mémoire de notre baptême.

Nous sommes appelés à vivre notre baptême tous les jours, comme une réalité actuelle de notre existence. Si nous réussissons à suivre Jésus et à rester dans l’Église, malgré nos limites et nos fragilités, et nos péchés, c’est précisément grâce au sacrement dans lequel nous sommes devenus de nouvelles créatures et avons été revêtus du Christ. C’est en effet en vertu du baptême que, libérés du péché originel, nous sommes greffés sur la relation de Jésus avec Dieu le Père, que nous sommes porteurs d’une nouvelle espérance, parce que le baptême nous donne cette espérance nouvelle : l’espérance de marcher sur la route du salut, toute notre vie. Et rien ni personne ne peut éteindre cette espérance, parce que l’espérance ne déçoit pas. Souvenez-vous : l’espérance dans le Seigneur ne déçoit jamais.

Grâce au baptême, nous sommes capables de pardonner et d’aimer même ceux qui nous offensent et qui nous font du mal, nous parvenons à reconnaître dans les derniers et dans les pauvres le visage du Seigneur qui nous visite et se fait proche. Le baptême nous aide à reconnaître le visage de Jésus dans celui des personnes démunies, des personnes souffrantes, et aussi dans celui de notre prochain. Tout cela est possible grâce à la force du baptême ! » Pape François.

 

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