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À Valréas Emile Egéa 89 ans ; à Grillon Anna Porciero née Ganteaume 81 ans.
Nous les portons dans nos prières avec leurs familles et leurs proches

 

Le lundi 5 novembre à 19 h 00 à la salle du Cardinal Maury à Valréas avec le Père François-Régis Wilhélem, professeur au Studium de Notre-Dame de Vie : enseignement, pratique à l’église et échanges autour du repas partagé.

 

La messe pour leurs défunts sera célébrée le mardi 6 novembre à 18 h 15 à la chapelle des Pénitents Noirs par leur Aumônier, le Père Olivier Dalmet.

 

Le mardi 6 novembre à l’église Notre-Dame de Nazareth de 20 h 30 à 21 h 30. Le Message final de la 13^ème Assemblée ordinaire du Synode des évêques consacrée à la Nouvelle Evangélisation, considère la famille comme le lieu naturel de l’évangélisation et confirme qu’elle doit être soutenue par l’Eglise, par la politique et par la société.
Au programme : chants, Parole de Dieu, intercessions et actions de grâces ponctueront notre rencontre.

 

 

La nouvelle édition du Missel des Dimanches 2013 est parue. Elle contient l’ensemble des textes de la liturgie en un seul volume au prix de 9 Euros.
Il offre dans ce volume unique des textes de l’année liturgique pour tous les dimanches.
Pour se le procurer, commandez-le au presbytère en le réglant à l’avance !

 

Fêté le dimanche 11 novembre, la messe sera célébrée à l’église paroissiale de Visan à 9 h 30.
Le 11 novembre est non seulement l’Armistice de la Grande Guerre, mais aussi la fête de Saint Martin, un saint très important dans notre pays, devenu un prénom et un nom de famille très courant, ainsi que le patron d’innombrables cités, églises dont celle de Visan.
La correspondance entre la fin de la première guerre et la figure de Martin est donc assez remarquable. Les soldats de 1914 étaient bien persuadés de défendre leur pays et d’agir de façon juste. Cette conviction va les habiter durant quatre ans et soutenir leur courage malgré les horreurs des tranchées.
Le patronage de Saint Martin n’aura pas inspiré aux puissances que le seul chemin de paix se trouve par la justice, dans la reconnaissance que l’autre est un égal.
Le Bienheureux Jean-Paul II n’a cessé de rappeler, notamment ses messages pour la paix le 1^er janvier, la journée de la paix, que la justice est l’autre nom de la paix !

 

L’Association « Amis de l’Opération Orange » de l’Enclave des Papes organise un déjeuner concert le vendredi 16 novembre à partir de 12 h 00 à la salle du Vignarès à Valréas. Marina Eskidjian, soprano de talent, animera cette rencontre au piano et violon.
Participation de 25 euros. Le bénéfice est destiné aux œuvres de Sœur Emmanuelle et Sœur Sarah pour les chiffonniers du Caire en Egypte.
Appelez la permanence du presbytère pour vous inscrire.

Dans le cadre des actions conduites pour lutter contre la solitude, les Conférences de Saint-Vincent-de-Paul de Grignan et Valréas sont heureuses de vous convier à une rencontre-débat le samedi 24 novembre 2012 à 15 h 00 à la librairie du Monastère Notre-Dame d’Aiguebelle sur le thème : « La solitude, beauté ou enfermement ? »
Avec la participation de Colette Lesage, professeur retraité, Pascal Geoffroy, pasteur de l’Église Réformée, Bruno Dardelet, ancien président National de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, les trois co-auteurs de l’ouvrage, « La solitude, paroles spirituelles de 45 témoins » qui servira de base à la rencontre. L’entrée est libre.

 

Le pape Benoît XVI a évoqué la place de la foi dans notre société, insistant sur la nécessité de relancer l’éducation à la foi. L’éducation à la foi, a dit le pape Benoît XVI, comprend « les vérités du salut » mais surtout « une rencontre véritable de Dieu en Jésus-Christ... De nos jours, au milieu de tant de signes positifs, le désert spirituel s’étend... Les idées mêmes de progrès et de bien-être présentent des ombres. Malgré les importantes avancées de la science et de la technique, l’homme n’apparaît pas vraiment plus libre.
Il subsiste de multiples formes d’exploitation, de manipulation, de violence et d’injustice... Parallèlement croît également le nombre des personnes désorientées, désireuses de dépasser l’horizontalité du réel, disposées à croire à tout et n’importe quoi. C’est devant cette réalité que des questions fondamentales se font jour... L’homme a-t-il un avenir ?... Comment nous orienter dans la vie ?... Qu’y a-t-il après la mort ? ». Face à ces interrogations, « bien qu’importante pour la vie de l’homme, la science ne suffit pas ».
« Outre le pain matériel, nous avons besoin d’amour, de sens et d’espérance, d’une base sûre... pour nous aider à vivre vraiment, y compris les moments difficiles. Or ceci nous est offert par la foi. S’abandonner au toit qu’est Dieu, qui procure espoir et confiance. Certes, cette adhésion à Dieu doit avoir un contenu, c’est-à-dire la certitude que Dieu s’est manifesté à nous dans le Christ...
Avec la mort et la résurrection du Christ, Dieu touche le fond de notre humanité afin de nous ramener à lui et de nous élever à sa hauteur. La foi signifie croire en cet amour qui ne cesse pas, qui ne cède pas à la méchanceté humaine, ni au mal ni à la mort, et qui peut transformer tout esclavage en possibilité de salut... Il nous faudrait plus souvent méditer sur ce qui soutient nos vies et ce monde, sur le sens que nous ne saurions nous attribuer par nous-mêmes mais qui nous est offert afin de vivre sans peur.
Nous devons annoncer en parole et en vivant en chrétiens cette assurance libératoire et rassurante de la foi ». A la base de notre cheminement de foi, il y a le baptême, ce sacrement qui nous communique l’Esprit, fait de nous des fils de Dieu dans le Christ et nous fait entrer dans la communauté de l’Eglise. On ne croit pas par soi-même, hors de la grâce de l’Esprit, ni sans les autres. On croit avec nos frères, car après le baptême nous sommes tous appelés à revivre ensemble notre profession de foi. Si la foi est un don de Dieu, elle est également libre et humaine. Le Catéchisme de l’Eglise catholique dit clairement qu’il est impossible de croire hors de la grâce de l’Esprit, même si croire est un acte caractéristique de la nature humaine.
La foi n’est contraire ni à la liberté ni à l’intelligence de l’homme. Elle l’exalte... Croire signifie s’en remettre en toute liberté au dessein providentiel de Dieu dans l’histoire, à l’image de ce que firent Abraham ou Marie. (...)