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A Valréas Elie Philibert 80 ans. Nous le portons dans nos prières avec sa famille et ses proches

 

N’oubliez pas de déposer votre enveloppe dans le panier de la quête ou dans la boîte aux lettres du presbytère.

 

Elle a été instituée en 1925 par le Pape Pie XI. Voici que l’année liturgique touche à sa fin. Dimanche prochain, l’Eglise entre dans une nouvelle année liturgique. Ce sera le 1^er dimanche de l’Avent qui inaugurera un nouveau cycle de fêtes. Mais ce n’est pas un éternel retour où l’on revient à son point de départ. Car l’histoire de Dieu avec les hommes, progresse, elle va vers son achèvement. Un jour sera le dernier jour, même si le Christ nous interdit d’en conjoncturer la date. Mais en ce dernier dimanche de l’année, l’Eglise s’abstient de faire le bilan comme il est d’usage parmi les hommes lorsque le nouvel an arrive.

Ce n’est pas en arrière qu’elle veut regarder aujourd’hui, mais en avant. Le Christ n’est pas Roi pour servir les pouvoirs politiques, mais pour sauver les hommes en les réconciliant avec Dieu et entre eux, en les invitant à servir sa royauté d’amour, de justice, de vérité, de paix. Jésus règne sur nous quand nous nous laissons envahir par l’attitude qu’il a eue sur la croix, par l’esprit des béatitudes, par l’esprit de l’Evangile.

 

La veillée en provençal et la messe de minuit en français se prépareront le mercredi 28 novembre à 17 h 30 au presbytère de Valréas.

 

Tel est le thème de la Journée diocésaine de l’ACF (Action Catholique des Femmes) ouverte à tous le vendredi 30 novembre à la Maison des chrétiens à Grillon de 9 h 30 à 16 h.

Au programme : 9 h 30 accueil, prière et présentation de l’ACF, témoignages de 10 h à 12 h, messe à 12 h 30, à 13 h 15 repas partagé (apporter un plat, les couverts et du pain), échanges à 14 h 30 et fin à 16 h 00. Renseignements / Contact : presbytère de Valréas.

Ils auront une répétition le samedi 1^er décembre de 14 h 30 à 16 h 00. Rendez-vous à l’église de Valréas  !

 

Le cardinal Schönborn, Archevêque de Vienne, en Autriche, et Président de la Conférence épiscopale autrichienne, invite à rester «  ouvert à l’inattendu  », car l’Eglise ne cesse de refleurir  : «  trop souvent on ignore et on ne partage pas les belles choses  », et l’on voit seulement que « le vent souffle souvent contre nous », alors que « le souffle de l’Esprit Saint aussi est perceptible ». Il confie ses impressions sur le synode pour la nouvelle évangélisation auquel il vient de participer du 6 au 28 octobre 2012.

La première chose et la plus importante, qui a imprégné de nombreuses interventions, a été le thème : «  Nous devons commencer pour nous-mêmes… J’ai été très touché par le fait que de nombreux évêques ont déclaré que nous pouvons évangéliser seulement si nous nous laissons évangéliser nous-mêmes.  » Cela a été une très belle clarification  ; nous ne pouvons pas nous évangéliser nous-mêmes, nous devons nous laisser évangéliser, comme le rappelle le Catéchisme : personne ne peut s’annoncer à soi-même l’Evangile.

Nous devons le recevoir. Cela implique le thème de la conversion, un thème très fréquent dans les interventions des évêques. Cela me fait sentir très certainement que nous ne sommes pas en train de parler de ce que devraient faire les autres mais plutôt - comme l’a dit Paul VI dans Evangelii nuntiandi - de ce que nous devons commencer avec nous-mêmes.

 

Une formation (les paroles de Genèse chapitres 2 et 3) qui tombe à un moment opportun où l’on parle beaucoup de père, mère et famille. Cette formation aura lieu au sanctuaire Notre Dame de Grâces à Rochefort du Gard les samedi 1^er et 15 décembre de 9 h à 12 h 30. Elle sera assurée par le Père Philippe Mercier, exégète, professeur émérite de l’Institut Catholique de Lyon. Sachant faire passer une lecture de la Bible si chaleureuse en nous rendant acteur de la Parole, cela vaut vraiment la peine de venir l’écouter. A ne pas manquer  ! Coût de la formation : 21 €/personne – 32 € pour un couple (Chèque à l’ordre du CREC) Inscriptions - renseignements : CREC - 04 90 15 49 34.

Possibilité de prendre le repas sur place (12 €) en réservant par téléphone une semaine avant la rencontre au 04. 90. 31. 72. 01.

 

C’est le livre que la liturgie nous propose actuellement chaque jour. Ne nous crispons pas sur les images catastrophiques auxquelles est associé ce mot d’Apocalypse. Apocalypse signifie «  révélation  ». L’Apocalypse est ce que, au plus profond de notre cœur, nous désirons voir  ; elle est la manifestation de ce que, depuis toujours, l’Eglise espère. L’Apocalypse commence par une admirable vision du Seigneur ressuscité dont la Gloire éclaire plus qu’elle ne terrifie, et elle se termine sur une autre vision, celle de la Jérusalem qui vient à la rencontre de son Seigneur. Cet ultime livre de la Bible nous montre ce qui est déjà et ce qui sera, aussi sûrement que demain sera et que la lumière du jour s’y lèvera.

Et la réaction saine du chrétien devant cette révélation est le désir : «  Maranatha, viens, Seigneur Jésus  !  » Sans ce désir, comment pourrions-nous supporter l’épreuve de ce temps et les épreuves de la fin des temps  ? Allons à l’Apocalypse comme à un livre qui nous affermit et nous conforte et non pas qui nous terrorise.

 

Cette visite des évêques à Rome est d’abord un pèlerinage aux tombeaux des saints apôtres Pierre et Paul, les deux colonnes de l’Eglise de Rome. C’est de là que vient l’expression «  visite ad limina  ». Cela veut dire que cette visite est d’abord une démarche, non pas administrative ou touristique mais spirituelle. Plusieurs Provinces ecclésiastiques sont réunies pour cette visite du 23 novembre au 3 décembre : les Provinces de Lyon, Clermont, Toulouse, Montpellier et Marseille, soit plus de 30 évêques.

Ils auront des rencontres dans les différents dicastères et conseils pontificaux, une rencontre tous ensemble avec le Saint Père et une autre rencontre avec lui en Province, d’une heure environ, durant laquelle chaque évêque lui posera une question et le Saint Père répondra.

 

Joseph Ratzinger-Benoît XVI a publié mercredi 21 novembre le 3^ème volet de son enquête sur Jésus de Nazareth. Ce volume consacré aux récits de l’enfance de Jésus se veut une «  porte d’entrée  » à ses deux livres précédents