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Evènements et Invitations

 

Un grand Merci à tous ceux et celles qui ont œuvré au service de notre communauté tout au long de l’année écoulée, qui ont permis que les fêtes de noël soient réussies (veillée, liturgie, chant, orgue, crèche, propreté des églises, décoration …), à tous ceux et celles qui vont accueillir les 3 religieuses vietnamiennes pendant les vacances (pari réussi  !), qui ont fait un geste à l’égard des prêtres durant ces fêtes ou (et) au cours de cette année avec le panier du Curé : que le Seigneur vous bénisse  !

 

Comme les années précédentes, le 31 décembre, nous ferons un parcours à pied ou en voiture (au choix  !) avec des stations dans des familles qui recevront la bénédiction. Cette année nous serons sur Grillon  !

Rendez-vous à 19 h 30 devant l’église de Valréas. À 23 h 45 nous vivrons un temps d’Adoration à l’église de Valréas  ; à minuit bénédiction du Saint Sacrement et sonnerie des cloches puis réveillon à la salle Cardinal Maury (1 mets festif pour 4).

 

Elle est chère au cœur des provençaux. Elle est apparue au XVII° siècle et aujourd’hui encore, elle est jouée dans beaucoup de villes et villages du Sud de la France. Celle qui sera présentée pour la 4^ème fois à l’église Notre-Dame de Nazareth à Valréas, le samedi 4 janvier 2013 à 15 h 30 nous vient de Grignan. De très nombreux paroissiens de Valréas y participent. À 15 h sur la Place Cardinal Maury elle est précédée d’un prologue qui situe l’action dans l’Enclave des Papes.

Plusieurs pastorales ont inspiré celle-ci qui est donnée en français, émaillée d’expressions en provençal. Venez très nombreux pour cette unique représentation à Valréas. Venez partager la Nativité dans la ferveur et dans la pure tradition provençale  !

La représentation dure environ 2 heures. L’entrée est libre. La quête effectuée à la sortie de l’église sera au profit de l’Association des Œuvres paroissiales de Valréas. Une collation chaude sera offerte à tous les participants à la sortie.

 

 

«  En ces temps où la famille semble attaquée de toutes parts, au nom de principes qui se parent de beaux noms et de grandes idées tout en cachant souvent des effets de mode et des révolutions arbitraires, il me semble que l’on pourrait finir l’année en beauté en évoquant le témoignage de quelques écrivains à ce sujet. Les poètes et les artistes traduisent avec tout leur génie, avec toute leur sensibilité, ce que chacun ressent et vit. Rappelons-nous Hugo, dans «  les Feuilles d’automne  » racontant avec émotion ce qu’il doit à sa mère «  … ange qui sur trois fils attachés à ses pas/ Epandait son amour et ne mesurait pas/ Ô l’amour d’une mère, amour que nul n’oublie/ Pain merveilleux qu’un Dieu partage et multiplie/ Table toujours servie au paternel foyer/ Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier…  ». Souvenons-nous de Péguy et de Camus, tous deux orphelins de père, tous deux pauvres, élevés par des mamans travailleuses et dignes, aimant leur fils, l’éduquant avec exigence, l’encourageant dans les études, le rendant fort par un amour désintéressé. Montaigne a magnifiquement témoigné de l’amour de son père dans «  Les essais  », Hugo, toujours lui, a célébré le sien, général d’empire, par un texte plein d’admiration qui enchanta des générations d’écoliers : «  Mon père, ce héros au sourire si doux…  »

Oui, je l’atteste, ma génération a été élevée avec un grand respect de la famille  ; la guerre avait éprouvé beaucoup d’entre elles, ceux qui étaient revenus de 14-18 savaient le prix des choses de la vie, et la valeur d’un foyer où grandissent les enfants  ; cet attachement s’était fortement transmis. Et sur les genoux de notre mère, aussi bien qu’à l’école, nous apprenions des textes clairs et constructifs, qui nous faisaient aimer la vie : «  Lorsque l’enfant paraît/ le cercle de famille applaudit à grands cris/ Son doux regard qui brille/ fait briller tous les yeux/ Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être/ se dérident soudain à voir l’enfant paraître/ innocent et joyeux  ».

En ce dimanche où Ben Sirac compare l’harmonie familiale à un trésor, et où Jésus est sauvé d’Hérode par la vigilance et le courage de ses parents, prions pour que Dieu donne au monde le goût de vivre ardemment cette aventure là : non pas, bien sûr, pour se replier sur soi dans sa petite cellule familiale, mais au contraire pour pouvoir s’ouvrir aux autres, équilibré et heureux. Christian de Chergé disait avec gratitude au pire moment de Thibirine, tout ce qu’il devait à sa famille, qui avait constitué (je cite) sa «  toute première Église  ». Voyez, sur de telles fondations, ce que deviennent le courage, l’obéissance, la foi, et la fidélité.   » Simone Grava

 

«  le Pape François désigné « personne de l’année » par le magazine Time  ? C’est non seulement une excellente nouvelle pour lui, mais pour les milliards de personnes qui se sentent reconnues par ce chantre de l’Évangile.

Il ne court pas après ces notoriétés. Ces notoriétés courent après lui dans le sillage de sa bonté. Tandis que lors de certaines années sombres, ce titre fut hélas attribué à de funestes acteurs de l’actualité, François rejoint de façon d’autant plus lumineuse l’heureuse liste de ceux qui sont des bénédictions pour l’humanité. Quand manquent les guides de cette stature, il est heureux de voir l’univers médiatique s’incliner devant la stature de ce pèlerin. Tel Jean Baptiste, il ne ménage pas sa peine, ni ne mâche ses mots  ! Il est déclaré grand aux yeux des hommes en 2013. À la suite de son Maître et Seigneur, il ne cesse d’affirmer que le plus petit des hommes est plus grand que lui.

Avant de nous souhaiter une nouvelle année, rendons grâce qu’un tel témoin de l’absolu et de la fraternité ne soit pas passé inaperçu dans l’année qui s’achève.  » M^gr Podvin - Porte-parole des évêques de France -

 

20.000 jeunes de toute l’Europe sont attendus pour la 36^ème Rencontre européenne de Taizé, du 28 décembre 2013 au 1^er janvier 2014. Le temps de prière et de fête animé par la communauté œcuménique aura lieu à Strasbourg, ville symbole de la réconciliation franco-allemande et poumon de la construction européenne. «  Le Rhin n’est plus une frontière mais, comme au Moyen Age, un axe de communication  ». En effet, ce sont 200 paroisses des deux côtés du fleuve, en France et en Allemagne, qui sont mobilisées pour accueillir tous ces jeunes. Parmi eux, 4500 Polonais, 2600 Ukrainiens, 1400 Italiens, 1200 Croates, 1000 Biélorusses…

Dans son message de bienvenue, M^gr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg, se réjouit de voir bientôt des jeunes européens«  faire ensemble un chemin vers Dieu (…) dans la confiance  ». Il invite à une confiance triple : «  en Dieu qui nous aime  », «  les uns à l’égard des autres  » et «  en l’avenir qui s’ouvre devant nous  ». «  Votre confiance, mettez-la en Dieu  » les exhorte-t-il.

 

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