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Evènements et Invitations 

À Valréas, Yvonne Campiglio née Egea 86 ans. Nous la portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

Ensemble, jubilons pour les 900 ans de la Cathédrale Notre-Dame des Doms, le dimanche 13 mai sur la place du Petit Palais à Avignon  : présentation historique de la Métropole à 15 h 30 suivie de la messe à 16 h 00. Venez nombreux !

 

Le lundi 7 mai à 19 h 00 à la salle Cardinal Maury à Valréas avec le Père François-Régis Wilhélem qui nous parlera de la guérison. À ne pas manquer même si vous n’êtes pas venus aux rencontres précédentes !

Au programme : enseignement, pratique de l’oraison à l’église puis repas partagé.

 

24 enfants de l’Enclave prépareront leur première communion le samedi 12 mai à la Maison des Chrétiens de Grillon à partir de 9 h 00. Ils participeront à la messe paroissiale à l’église Grillon à 17 h 45 à laquelle les parents sont largement invités. La messe de première communion sera célébrée à Valréas le dimanche de Pentecôte, le 27 mai, à Visan le dimanche 3 juin et à Richerenches le dimanche 10 juin. Le pape s’est adressé aux accompagnateurs d’enfants à la première communion, avant le Regina cœli, dimanche dernier, place Saint-Pierre à Rome : « Il faut préparer les enfants à la première communion « avec ferveur et sobriété  », exhorte Benoît XVI : c’est une « fête de la foi ».

L’enjeu en est important : ce jour, a souligné Benoît XVI « reste gravé dans la mémoire » comme le « premier moment » où l’enfant perçoit, même si c’est encore de manière élémentaire, « la rencontre personnelle avec Jésus ». Jésus, en effet, a-t-il précisé en citant saint Thomas d’Aquin, est « tout entier dans ce sacrement ». Il a souhaité, pour conclure, que la Vierge Marie soit une aide pour « écouter avec attention la Parole du Seigneur » et pour « participer dignement à la Table du sacrifice Eucharistique », afin de « devenir témoins de l’humanité nouvelle ».

 

Donné par la formation de Jean-Paul Finck, le samedi 12 mai à 18 h 00 dans la chapelle des Pénitents Blancs. A l’issue du concert, un buffet froid, animé par les choristes, sera servi dans les jardins de la chapelle (22 Euros avec le buffet froid au profit des travaux de la chapelle, uniquement sur réservation au presbytère.

 

Du 13 au 20 mai, est organisée la première semaine de l’orgue en France. Et les festivités pour découvrir ou redécouvrir cet instrument majestueux ne manqueront pas. A Valréas, Olivier Mathieu et Vincent Boyer nous feront le plaisir de jouer plusieurs pièces d’époques différentes, le jeudi de l’Ascension, le 17 mai, de 18 h 00 à 19 h 30 environ.

Ils joueront des œuvres de Nicolas De Grigny, Jean-Sébastien Bach, Louis-James Lefébure Welly et Eugène Gigout.

Quant aux autres organistes de Valréas, ils prêteront leur concours à leurs confrères de Saint-Paul-Trois-Châteaux, la veille, le mercredi 16 mai, à 17 h 00 à la cathédrale.

 

Le mois de Marie nous invite à remettre en bonne place dans notre prière quotidienne la prière du chapelet. Elle est une occasion privilégiée pour apprendre ou réapprendre à prier avec le chapelet. La prière du chapelet a fait de certains saints d’authentiques mystiques. Je pense en particulier à sainte Bernadette de Lourdes qui ne savait prier qu’avec son chapelet, à saint Louis Marie Grignon de Montfort, à saint Maximilien Kolbe. Le chapelet en effet est une manière étonnante de contempler le Christ, de pratiquer de la « lectio divina » (« lecture priante ») de l’Ecriture Sainte, surtout des Evangiles. 

Le chapelet est une prière de répétition. Certains pensent que répéter ainsi les « Je vous salue Marie » est source de routine. Cela peut l’être, c’est vrai. Mais on redécouvre aujourd’hui la valeur de la prière de répétition. Nous en avons pour illustration le succès de « la prière à Jésus », chère à nos frères chrétiens orientaux, et répandue en occident par le livre « Les récits d’un pèlerin russe ». Par la répétition, dont l’importance est soulignée par les psychologues, la prière pénètre peu à peu tout notre être, corporel et spirituel. C’est ce que réalise le chapelet. La répétition lente et rythmée des « Je vous salue, Marie » nous maintient dans la présence du Christ. Du reste, pour dire à quelqu’un que nous l’aimons, nous répétons souvent les mêmes paroles qui prennent chaque fois un sens nouveau.

Plus qu’une prière mariale, le chapelet est une prière trinitaire. Chaque dizaine commence par le « Notre Père ». En le disant, nous reconnaissons que l’œuvre de Jésus, et par le fait même la mission et la sainteté de Marie, ont leur source et leur fin dans le Père. Chaque « Je vous salue Marie » a pour centre et sommet la louange adressée à Jésus, le Fils béni qui s’est fait homme en Marie par l’action de l’Esprit Saint. En nous guidant dans la contemplation du Christ, Marie veut nous partager ce qui a été sa seule passion à la suite de Jésus : la gloire de Dieu. C’est pourquoi chaque dizaine se termine par la glorification du Père, du Fils et du Saint Esprit, qui fait écho à la doxologie de la célébration eucharistique.

 

Lors de la conférence de presse qu’il a tenue pendant le vol de Rome au Mexique, Benoît XVI a en effet répondu à cinq questions, dont une sur la nouvelle évangélisation. Le pape a souligné que « la nouvelle évangélisation a commencé avec le Concile ». Mais face à « la sécularisation », à « l’absence de Dieu », à « la difficulté à l’approcher », à « le voir comme une réalité qui concerne ma vie, malgré la diversité des situations. Il existe un problème commun : Comment aujourd’hui, dans ce contexte de notre rationalité moderne, pouvons-nous de nouveau découvrir Dieu comme l’orientation fondamentale de notre vie, l’espérance fondamentale de notre vie, le fondement des valeurs qui construisent réellement une société, et comment pouvons-nous tenir compte de la spécificité des différentes situations ».

Le pape invite à « annoncer un Dieu qui répond à notre raison parce que nous voyons la rationalité du cosmos, nous voyons qu’il y a quelque chose derrière, mais nous ne voyons pas combien ce Dieu est proche, combien il me concerne et cette synthèse du Dieu grand et majestueux et du Dieu petit qui est proche de moi, m’oriente, me montre les valeurs de ma vie. C’est le noyau de la nouvelle évangélisation. (…) Nous devons chercher à ne pas perdre le cœur, mais relier cœur et raison, de façon à ce qu’ils coopèrent, parce que c’est seulement ainsi que l’homme est complet et peut réellement aider et travailler à un avenir meilleur. (…) L’Eglise doit toujours aider à l’éducation des consciences, que ce soit pour la vie publique ou pour la vie privée. »

 

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