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Evènements et Invitations

 

À Richerenches, Jeanne Marcel née Mure 95 ans. Nous la portons dans nos prières avec sa famille et ses proches.

 

M. le Curé rencontrera la communauté paroissiale le mercredi 30 janvier à 17 h 00 au presbytère de Visan.

 

pour le numéro de Pâques, rendez vos articles avant le lundi 11 février ! Merci par avance …

 

Dimanche 27 janvier, la communauté paroissiale de Valréas fêtera son saint patron au cours de la messe de 10 h 45 animée par le chœur St Joseph. Saint-Vincent vécut aux environs de l’année 300. Il se donne à Dieu comme Diacre au service des plus pauvres et de la parole de Dieu. Martyrisé pour avoir refusé un culte inconditionnel à l’empereur, il fut torturé jusqu’au sang, comme la vigne peut l’être elle-même. Est-ce pour cela qu’il fut nommé patron des vignerons et que l’Eglise honore le Saint, par cette parole le jour de sa fête : « Je suis la vigne et vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruits » (Jn 15,5). Il est aussi le saint patron de l’église de Valréas, protecteur, exemple, signe de la présence de Dieu, rappelant l’essentiel du message évangélique : l’amour indissociable de Dieu pour nous et pour chacun des Hommes.

 

Le loto, par la trésorerie qu’il apporte, est une aide importante pour la paroisse. Celui de cette année à Valréas a connu une très bonne réussite. Aussi le Père Dalmet et les membres de la commission loto tiennent à remercier chaleureusement les personnes qui y ont contribué « de près ou de loin ». Que vous soyez donateurs (commerçants, viticulteurs, artisans, particuliers) ou simplement participants, merci et à l’année prochaine !

 

Fêtée le 2 février, elle est aussi appelée « Fête de la Chandeleur », « Fête des Chandelles » constitue une invitation à faire resplendir partout la Lumière du Christ Sauveur ! Cette fête sera célébrée le samedi 2 février à 19 h 00 à l’église de Valréas. Elle débutera devant la crèche blanche avec la bénédiction des cierges verts de la Chandeleur. Cette messe sera celle de la chandeleur et pas la première messe du 4^ème dimanche du temps ordinaire !!!

Depuis 1997, le 2 février est aussi la journée de la vie consacrée. Pourquoi cette journée se déroule-t-elle le 2 février ? Elle est célébrée en la fête de la Présentation du Seigneur au temple. La présentation de Jésus au temple, consacré selon la prescription rituelle de l’époque au Seigneur, annonce le don de Jésus par amour de Dieu et des Hommes et l’offrande suprême de la Croix. Cette journée a donc une importance particulière pour toute personne consacrée, qui, inspirée par le don bouleversant du Christ, aspire à son tour à donner sa vie et à tout abandonner pour marcher à sa suite.

 

Nous avons vu dimanche dernier qu’à la demande de sa mère l’incitant à intervenir à Cana pour aider leur hôte, Jésus a répondu : « Femme, mon heure n’est pas encore venue… ». Aujourd’hui, dans la synagogue familière de Nazareth, où il a peut être fait sa bar-mitsva, ayant lu la prédication prophétique d’Isaïe sur le Messie, ce même Jésus, assis, les yeux de tous étant fixés sur lui, déclare : « Cette parole de l’Ecriture, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit… », révélant ainsi publiquement qu’il est le Christ.

Beaucoup plus tard, lors du dernier repas, il dira devant ses apôtres, au cours d’une grande prière eucharistique préparant à l’arrestation et au supplice : « Père, l’heure est venue de te glorifier… ». Ainsi la vie de Jésus est-elle rythmée de moments où les actes se font quand « l’heure est venue », dans une progression singulière qui nous échappe en partie, qu’il décide au plus intime de son cœur, à travers les épisodes d’une existence pleinement humaine, mais scandée de transgressions qui font « signe » - appels, miracles, guérisons, théophanies, conversions… Lorsqu’il annonce dans la ville de ses parents, de son enfance, qu’il est l’envoyé de Dieu, le consacré, le dispensateur de grâces, on ne le croit pas, on le chasse - mais il était l’heure de dire, là, sa vérité, la vérité, et désormais celle-ci va son chemin, elle court jusqu’à la mort annoncée, jusqu’à la Résurrection, et de siècle en siècle jusqu’à nous, qui témoignons encore de notre adhésion à cette Parole. Car on peut vouloir étouffer une vérité, on peut essayer de la travestir ou de la faire taire, mais parce qu’elle est la Vérité elle résiste, elle ne peut pas mourir. Aujourd’hui, où nous sommes dans l’épreuve pour défendre ce que l’humanité a de plus fondamental et ce que l’enfant a de plus précieux, il nous faut garder courage et persévérance - car le combat de la force et de la vérité, nous dit Pascal, est un étrange combat  ; force contre force, c’est la plus puissante qui écrase l’autre ; vérité contre vérité, c’est la plus juste qui s’impose ; mais quand la force veut faire taire la vérité, il arrive certes qu’elle triomphe momentanément, cependant « son cours est borné », et la Vérité subsiste toujours « parce qu’elle est éternelle et puissante comme Dieu même. » Simone GRAVA

 

Une journée aura lieu le samedi 2 février de 9 h 00 à 17 h 00 au Lycée Saint Joseph d’Avignon. Elle sera donnée par le Père Pochon, jésuite. Le thème en est : « Exercices de Saint Ignace, principes et fondements ». Le Père Pochon propose dans la journée une alternance entre enseignements, exercices spirituels et temps d’échanges.

Il est nécessaire de s’inscrire au 06 14 67 87 58. Les conditions pratiques vous seront indiquées. Formation ouverte à tous. Public adulte.

 

« … La France et l’Allemagne peuvent et doivent puiser dans l’histoire de leur réconciliation et de leur amitié la force pour tirer ensemble les conséquences des problèmes actuels. Elles peuvent aussi y puiser l’inspiration pour aider l’Union européenne à mettre en place des structures politiques solides sur le long terme et une véritable économie sociale de marché. Elles peuvent œuvrer pour que le respect de la dignité humaine, le souci du bien commun et les principes de solidarité et de subsidiarité guident toujours davantage la construction européenne. L’intégration européenne est devenue une forme emblématique de la résolution des conflits, comme en témoigne l’attribution du Prix Nobel de la Paix à l’Union européenne. L’amitié entre nos deux pays, autrefois ennemis, peut également servir d’exemple pour la réconciliation dans d’autres endroits du monde…

L’Eglise a aussi apporté sa contribution au développement de l’amitié franco-allemande, notamment à travers le jumelage de nombreuses paroisses et les visites réciproques des responsables ecclésiaux. Dans le contexte actuel, ce 50^ème anniversaire du Traité de l’Elysée est aussi pour elle l’occasion de rappeler, plus particulièrement aux jeunes générations, que la réconciliation n’est pas un vain mot, mais un chemin réel que nos pays ont déjà emprunté dans l’histoire et qui reste ouvert aux hommes de bonne volonté. »